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Décroissance Ile de France
23 février 2020

Attention = pas de contre-sens:

Je ne suis pas pour autant un cinglé du rationalisme, façon "Auguste Comte", ni un dingue des tables-tournantes et de la communication avec les esprits, avec l'usage ou non des médiums,cette mode du mysticisme de la fin du XXe siècle,mode qui sera le terreau de la théosophie fondée par Héléna Blavatsky et Annie Besant, un mysticisme très inspiré par la découverte alors récente des religions de l'Inde,et dont le spécialiste de Goethe, ce Goethe pionnier du romantisme allemand, déjà une forme de rébellion contre le rationalisme des Lumières françaises, ce spécialiste de Goethe est Rudolf Steiner, lequel va se disputer avec les deux femmes qui animent ce courant, pour lui mettre une coloration  beaucoup plus chrétienne, mais à sa façon : pour Rudolf Steiner, en créant sa théosophie à sa sauce, et en la nommant "anthroposophie" pour faire acte de scission, il y a deux Jésus, et il va créer la "Communauté des chrétiens", une secte basée en France vers Vaucresson, banlieue ouest de Paris...
Je connais car mon ex compagne, après notre séparation en y est devenue "évêque" et responsable des colonies de vacances pour les enfants des anthroposophes, sortant des célèbres écoles pour les écolos naïfs, les écoles avec la pédagogie Steiner, étrangement admirées par les fondateurs du mensuel écolo de Lyon: "Silence", et très implantées en banlieue ouest-Paris, dans l'Allier, et en Alsace, et un peu partout en Allemagne surtout...
Paradoxe = je suis ethnologue,
et donc familier des délires mystiques des shamans, et pourtant, quand tu me lis, tu me classe dans les "rationalistes étroits", et autres rigidités qui seraient un frein à la libre imagination, à la poésie, à la créativité artistique, etc...
Je ne fais pas de différence entre "science" et "religion" = religare = "relier".
Car la science est la tentative la plus récente, et en cela s'estimant meilleure, de tout relier à tout, de tout expliquer, et il n'existe aucun peuple se moquant de chercher à expliquer, à comprendre.
Les occidentaux nommeront avec une certaine condescendance, un certain mépris : "mythologie", les récits explicatifs des peuples que les colons verront comme étranges, exotiques. Effet du racisme, effet de la création d'un terme signant l'orgueil occidental = le terme de "civilisation", servant d'abord à se moquer des "sauvages", donc des non-civilisés...
Comme ethnologue, je sais que tous les peuples transmettent à leurs enfants LE texte explicatif qui explique tout, une victoire qu'il faut absolument faire comprendre à la descendance.
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Comprendre permet de vivre plus à l'aise dans ce monde, car avec le sentiment réconfortant de vivre dans l'intimité des êtres et des choses, et en comprenant toujours de mieux en mieux comment tout cela fonctionne et se perpétue, pour le plus grand bien du peuple qui habite tendrement cet environnement qualifié souvent de "Terre-Mère"...
Tout peuple est en quête inquiète ( vive la quiétude, à bas l'inquiétude !) de la compréhension, pour vivre mieux dans ce monde, et le ressentir le moins possible mystérieux. Donc il faut que tout est une explication.
Les "Blancs" pensent avoir trouvé et en sont fiers !
Pas sûr du tout !
Leur mythologie est scabreuse, mal foutue, puisqu'elle développe un orgueil insensé qui pousse les croyants qui suivent les traces de Bacon et Descartes dans un suicidaire prométhéisme, une attitude de confiance excessive dans les outillages techniques vus comme une sécurité pour bénéficier de "commodités" et de "confort", alors qu'avec le recul et la prise de conscience écologique, la mythologie des "Blancs" qu'ils nomment "science", est un récit de synthèse globale raté : pour le comprendre, il suffit de lire toutes les preuves amenées par les "effondristes", comme Clive Hamilton, Paul Chefurka, Chris Clugston, Yves Cochet et Pablo Servigne.
Car cette mythologie mène à un mode de vie inadapté aux données bio-géo-chimiques de cette fragile biosphère.
Donc il faut se débarrasser de cette tentative de synthèse, de récit explicatif totalisant, de prétendue "science", et réfléchir plus intensément, en s'inspirant, entre autre, de certaines sagesses vues comme "exotiques" !
Notre mythologie inadaptée a un passé, un passé qui remonte aux origines-mêmes du texte de la Bible, avec ses lointaines origines qui seront le sujet du texte inaugural intitulé: "La Genèse", et c'est ce texte de la Genèse qui est très bien analysé dans son discours du 26 décembre 1966 par l'historien médiéviste Lynn White (1907-1987)  :
"The Historical Roots of Our Ecologic Crisis"
discours imprimé ensuite le 10 mars 1967 pages 1203-1207 dans "Science"n° 3767, volume 155, et très bien traduit et commenté par Jacques Grinevald pages 13 à 24, puis expliqué pages 39 à 67 dans le volume paru en 2010 aux éditions de Genève : Labor et Fides, sous la direction de Dominique Bourg et Philippe Roch, sous le titre général :
"Crise écologique, crise des valeurs?Défis pour l'anthropologie et la spiritualité", 333 pages.
Plusieurs chapitres commentent la thèse de Lynn White qui fit date (et choc !) à la fin des années 1960, dont un chapitre du catholique Jean Bastaire, né en 1927, qui essaie de démontrer que non, le Dieu de la Bible n'est pas à l'origine de l'anthropocentrisme qui va enclencher dès le début la destruction de la nature, les années 1600 (Bacon et Descartes) n'étant qu'une suite logique du feu vert pour régner sur l'ensemble de la Création et dominer tous les animaux  comme le décrit la Genèse...
Une version courte du livre "Crise écologique, crise des valeurs? vient de paraître (janvier 2019) aux  PUF, et ne contient  que le texte de Lynn White, sous le titre : "Les racines historiques de notre crise écologique" pages 21 à 49, avec une préface de Dominique Bourg, lequel commente ce texte fondateur pages 51 à 80, suivi d'une bibliographie pages 81 à 86, 9 euros le tout,  en petit format.

Je suis d'accord avec Lynn White, car comme ethnologue, je connais les peuples modestes et discrets, qui pratiquent un mode de vie soutenable et donc pérennisable, car s'appuyant sur des mythologies, des sciences, biocentriques.
Les Blancs et leurs imitateurs d'Asie, surtout les Chinois hélas galvanisés par une idéologie marxiste (lire d'Alice Ekman : "Rouge vif: l'idéal communiste chinois" 2020 ), donc occidentale, qui les propulsent dans une naïveté technophile délirante, et un culte de la notion de "progrès" qui n'était pas au cœur de la pensée chinoise, je pense aux expéditions maritimes avec des navires bien plus performants que ceux des portugais, avec Zheng He : 8 immenses voyages entre 1405 et 1433, jusqu' à ce que l' Empereur ordonne la fin de ces voyages et la destruction des énormes jonques. Car là-bas, ce n'était pas la même vision du monde !... Pas encore tout au moins !
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Donc les Blancs et leurs imitateurs actuels en Chine, sont entrain de donner une suite redoutable à l'ancienne "occidentalisation" du monde : désormais il faut parler  "eurasiatisation" du monde, ou, plus simplement, par simple photographie des élites qui gouvernent le monde pour aller le plus vite possible au suicide par écocide planétaire , le meilleur terme pourrait être : "l ' encravatement du monde" ! Un encravatement qui touche dramatiquement toutes les élites des pays qu'il ne faut surtout pas qualifier   d' "émergents ", mais bien au contraire entrain de se laisser enfoncer, immerger, dans un absurde mimétisme, une copie servile et débile du costume des élites imbues de leur arrivisme et de leur carriérisme. On voit cela dans tous les milieux d'affaires du monde. Plus on est près du sommet de la pyramide sociale, plus on s'habille comme les Blancs. Et les anciennes puissances coloniales n'ont accepté de lâcher du lest aux colonisés que dans la mesure où apparaissait sur place une élite embourgeoisée issue des effets tragiques de l'ethnocide, ce processus bien plus discret que l'ancienne tactique du génocide : au lieu de tuer les gens physiquement, on les tue spirituellement. Les colons inoculent chez les colonisés les sentiment de honte, à commencer par la honte de vivre traditionnellement nu. Les colonisés se laissent aller dans un désastreux complexe d'infériorité, et ne voient dès lors leur avenir que dans l'imitation de la façon de vivre de ceux qui furent souvent des maîtres d'esclaves.
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Ce syndrome de l' imitation du mode de vie des maîtres blancs est fort bien décrit par le psychiatre antillais Franz Fanon dans "Peaux noires, masques blancs", et  encore mieux dans "Les damnés de la terre" (Maspéro, 1961), à condition de remplacer le terme "éreintement" par le mot de Condominas, Jaulin et Clastres: "ethnocide" :
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"Le colon ne s'arrête dans son travail d'éreintement du colonisé que lorsque ce dernier a reconnu à haute et intelligible voix la suprématie des valeurs blanches"
Phénomène d'auto-dénigrement où sombrent les peuples ethnocidés que traduit ainsi Femi Ransome Kuti, chanteur du Nigéria, fils du célèbre Fela :
"Malgré l'abolition de l'esclavage, les Noirs sont toujours prisonniers des Européens et des Etatsuniens : nos esprits sont encore enchaînés"...
Désormais, à cette accusation des colons européens, il faudrait s'en prendre également autant aux Blancs qu' aux Jaunes, pour tenir compte de l'actuelle colonisation chinoise, qui lance partout ses tentacules enveloppants sous l'euphémisme des "routes de la soie", avec une redoutable efficacité, en faisant bien attention à ne pas coloniser le monde en reprenant les mauvaises méthodes des européens de jadis !
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La Chine a même réussi à s'installer sur des milliers d'hectares en France, dans l'Allier et dans l'Indre, sans vraiment attirer l'attention, en rusant avec les S.A.F.E.R. qui sont censées favoriser les agriculteurs français ! But : assurer à long terme ses ressources alimentaires, en allant cultiver loin la nourriture dont elle sait qu'elle sera nécessaire à sa subsistance dans quelques dizaines d'années. Le communisme chinois, c'est savoir planifier sur le long terme !
Et cette idéologie marxiste se met au service de l'antique esprit impérial chinois : redevenir ce qu'il n'aurait jamais du cesser d'être, selon leur façon orgueilleuse de voir : "l' Empire du Milieu", donc le centre du monde ... à la tête du monde. Vengeance vécue comme légitime après l'humiliation subie à partir du XVII e siècle, un sentiment de décrochage en termes d'industrialisation, avec comme injure suprême, la Guerre de l'opium au milieu du XIXe siècle. Ironie de l'histoire, la famille Forbes qui y fit fortune, cette famille dont un des descendants est notre Brice Lalonde, cette famille liée au célèbre magazine "Forbes" qui publie chaque année la liste des plus riches du monde, va désormais devoir y inscrire de plus en plus de Chinois, la Chine étant déjà le pays où le nombre des très riches explose !
Je considère que le spinoziste (pas Lordon !) Baptiste Morizot est le philosophe le plus intéressant aujourd'hui pour "décoloniser notre imaginaire " (Serge Gruzinsky, Gallimard 1998), sur la "piste animale" (Actes Sud 2018) pour "pister les créatures fabuleuses" (Bayard 2019) de façon à atteindre de nouvelles "Manières d'être vivant" (Actes Sud 2020) en abandonnant avec Descola notre simplificatrice dichotomie "Nature / Culture" donc l'une des quatre ontologies: notre "naturalisme", en nous ré-imbibant d'animisme pour mieux sentir avec tous nos sens épris de l'émotion du toucher de tout ce qui est vivant, pour enfin vivre une pluralisation de la sensualité, en s'inspirant par exemple de l'écoféminisme australien (Val Plumwood), et en cessant d'être l'écrivain-en-chambre, en sortant systématiquement dehors pour se frotter à la pluie, au soleil, au vent, aux odeurs et surtout aux êtres vivants, dont nous sommes une émanation en une étroite intrication non hiérarchisée. Seule façon passionnante d'être dehors : découvrir les empreintes laissées au sol par les animaux et les suivre ! C'est devenu la façon d'être et d'écrire de notre philosophe de l'Université d'Aix -en-Provence...
Pour les Jivaro de Descola et de Pignocchi, tout est différence, et tout est lié, et Davi Kopenawa comme tous les shamans Yanomami savent communiquer avec les esprits qui sont les preuves de cette interdépendances et de la possibilité de la transsubstantiation dans ce Grand Tout, à l'aide de la stimulation des neurones au moyen de certaines substances ingurgitées ou inhalées, ou parfois grâce à l' usage d'une première substance qui doit être obligatoirement accompagnée d'une deuxième, seule capable "d'ouvrir les portes de la perception" (Aldous Huxley), une incroyable découverte que seule la biochimie toute récente des neurones et des synapses a permis de comprendre ce que les shamans avaient découverts il y a bien longtemps. Lire à ce sujet (l'ayahuasca) de l’ethnologue suisse Jérémi Narby :"Le serpent cosmique"... Livre qui concerne les substances utilisées dans les Andes, et non celle utilisée par les Yanomami.
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Comme quoi il serait un peu simplificateur de conclure de mon admiration pour les évènements de novembre 1793, (un courrier précédent à JLP) ce sommet de l’espoir des révolutionnaires de 1789 d'en finir définitivement par une déchristianisation radicale, avec toutes les superstitions et tous les obscurantismes, que je serai à classer du côté des rationalistes obtus, du style des membres de l'A.F.I.S. (association pour l'information scientifique) et de leur infâme revue scientiste : "Science et pseudo-sciences".
Ma position est plus nuancée : comme Baptiste Morizot, je cherche comme à la fin du Moyen-âge une forme d'humanisme qui se soucie de l'homme, et non du "sexe des anges", comme les théologiens qui en étaient encore aux stupidités venues du Moyen-Orient avec son judaïsme et son christianisme, une forme d'humanisme qui ne mène pas pour autant à l'anthropocentrisme, mais une forme qui se mette au travail pour tisser une nouvelle intrication des faits, pour aboutir à une nouvelle synthèse explicative épanouissante permettant un tranquille biocentrisme, cette vie si agréable que j'ai pu partager avec les amérindiens en Amazonie une dizaine d'années, dans les années 1980 et 1990.
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Ce sont les derniers cris de la science, par exemple les travaux du laboratoire du P.I.A.F. des biologistes de Clermont-Ferrand comme Catherine Lenne, qui démontrent la justesse des savoirs des "sauvages" : oui, les plantent communiquent, oui, il faut tenir compte de la souffrance végétale, au même titre que la souffrance animale, et donc, oui, les véganiens (Jean-Pierre Digard, CNRS 2018 ) se trompent en faisant de la discrimination, du racisme, donc du spécisme tout en prétendant le contraire, en introduisant une hiérarchie entre les plantes et les animaux. Ils se trompent d'objectif en ne s'attaquant qu'aux mangeurs de viande : comme l'explique l'écolo radicale (site: partage-le.com) Lierre Keith dans "Le Mythe végétarien, nourriture, justice et soutenabilité"" (ed. Pilule rouge 2013) qui regrette ses 20 années de pratique du véganisme, puisque le véritable ennemi, c'est le monde industriel climaticide pollueur, pesticideur et cause de la Sixième extinction massive des espèces donc le problème n'est absolument pas "viande ou pas viande", mais le fait de s'alimenter ou non à partir de ce qui provient de l'agriculture industrielle, que cela concerne du blé, du soja, du maïs ou des poules et des cochons !

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Thierry SALLANTIN,
22 février 2020,
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écrit en forêt de Montmorency, retour dans la forêt de ma petite enfance, après être né en forêt de Chizé en 1953 ! Ensuite, mes parents déménageront en forêt de Rambouillet .
Découverte de la ville fin 1967. Horreur... ce qui facilitera immédiatement mon adhésion à la contestation de la société de consommation en Mai 68, et ma  rébellion sera absolue, toujours actuelle, en m'orientant tout de suite vers la sécession hippie, la contestation de la civilisation elle-même, à la place de l'ouvriérisme de la plupart des contestataires, pour moi pas assez révolutionnaires, car ne remettant pas, et radicalement tout, absolument tout, en cause !

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blancimarron@gmail.com,

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Commentaires
J
La science essaye-t'elle de tout expliquer ? En tout cas une démarche vraiment scientifique est dominée par le doute et un vrai scientifique avoue ne pas savoir au sujet de la plupart des questions qu'on lui pose : qu'y a t'il au-delà du big-bang ? par exemple, en est une. Ainsi, la science repousse toujours l'emprise des explications religieuses au-delà du big-bang en ce qui concerne l'origine du monde par exemple, mais ne la supprime pas. Ce qui revient à dire que les religions seraient des tentatives pour recouvrir l'inconnu d'une explication sécurisante. Est-ce vrai ?<br /> <br /> <br /> <br /> Ce qui est certain c'est que la science n'a pas de réponse au sens de la vie et elle doit être dominé par des valeurs et par la loi. Par exemple on ne peut pas autoriser les manipulations génétiques sur des humains.<br /> <br /> <br /> <br /> Le problème c'est qu'il existe aussi une "fausse science" et une "fabrique du mensonge" dont l'objectif est de faire passer pour bon pour la santé et l'environnement les produits dangereux des multinationales dans la chimie, les pesticides, le nucléaire, l'automobile, etc..mais ce n'est pas de la science, mais un outil pseudo-scientifique au service du lobbying.<br /> <br /> <br /> <br /> L'autre problème c'est le "scientisme" qui pourrait nous faire croire que la science serait la seule réponse au sens de la vie.<br /> <br /> <br /> <br /> In fine, le problème c'est le productivisme qui n'est pas scientifique car il remet en cause les lois de thermodynamie et le principe qu'une croissance infinie dans une Terre limitée n'est pas possible, mais il utilise la science et la religion pour son dessein.<br /> <br /> JLP
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P
AU CHOIX, PARMI D'AUTRES CITATIONS POSSIBLES !<br /> <br /> Quand, dans le texte, on lit ça:<br /> <br /> "Je ne fais pas de différence entre "science" et "religion" = religare = "relier".<br /> <br /> Car la science est la tentative la plus récente, et en cela s'estimant meilleure, de tout relier à tout, de tout expliquer, et il n'existe aucun peuple se moquant de chercher à expliquer, à comprendre.<br /> <br /> Les occidentaux nommeront avec une certaine condescendance, un certain mépris : "mythologie", les récits explicatifs des peuples que les colons verront comme étranges, exotiques." <br /> <br /> on se demande bien pourquoi l'auteur à cru bon de préciser plus loin:<br /> <br /> "Ce sont les derniers cris de la science, par exemple les travaux du laboratoire du P.I.A.F. des biologistes de Clermont-Ferrand comme Catherine Lenne, qui démontrent la justesse des savoirs des "sauvages..." <br /> <br /> <br /> <br /> Mais attention:pas de contre sens...mais une simple coïncidence ( indépendante de la volonté de l,auteur comme on dit au cinéma ? )<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre Leyraud
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