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Notre tâche aujourd’hui
« ... empêcher que le monde se défasse. » Albert Camus (discours à Stockholm, 1957).
La société change. Certains parleront de fascisme ou de totalitarisme, d’autres, de société de surveillance. Pour d’autres encore, prompts à l’euphémisme, ce ne serait qu’une politique autoritaire de circonstance car que voulez-vous il y a l’épidémie, la guerre contre le virus, nous ne sommes ni en Chine ni dans l’Allemagne hitlérienne, arrêtez votre complotisme, et allez vous faire vacciner, remettez le masque !
Observons ce qui a changé en un peu moins de deux ans. Une chute dans une autre époque. Dégradation, à plus d’un titre. L’obligation « vaccinale » se fait avec un produit en phase expérimentale, aux effets secondaires, malgré les mensonges d’État, avérés. Qu’est donc devenu le fameux « principe de précaution » ? Le pouvoir exécutif s’est assis dessus, comme sur la Santé Publique en continuant à fermer des lits même au plus fort de l’épidémie, au printemps 2020, ce qui soit dit en passant suffit à le discréditer. Toujours appuyé par le Conseil Constitutionnel dont le Président est l’homme responsable -mais pas coupable- du scandale du sang contaminé il y a une trentaine d’années et également père du directeur du cabinet américain Mc Kinsey qui pilote en France la crise sanitaire, l’exécutif s’est assis sur bien d’autres principes de la constitution! Le pouvoir fait jouer un déferlement de propagande servie par une presse aux ordres , un déferlement de manipulation, un étouffement, une répression, une forclusion de réelles informations (les données de la pharmacovigilance, par exemple, sans même parler du Pfizergate!). Des chroniqueurs grassement payés se relaient sur les écrans, des médecins vedettes, incarnant l’Autorité, doublement payés par les chaînes de télé qu’ils squattent et par les labos, ici et cela, mentent sur des médicaments génériques, promeuvent leurs produits discrédités par l’OMS ou encore en cours de validation, répètent des injonctions vaccinales. Ils vendent le passe à l’opinion, passe dit « sanitaire » mais, de fait, passe vaccinal. Mieux encore, comme on l’appelle en Italie : « green pass », pour la mise en place d’un flicage numérique et d’une transformation de l’humain pour l’adaptation de ce dernier aux pénuries qui arrivent et aux grands changements environnementaux. Futur « pass social » chinois ?
Accepter ces injections immunogènes d’un fragment d’ARN m codant pour la protéine « spike » du premier variant du virus qui n’arrête pas de muter, pose un double problème : une question sanitaire d’abord, à poser, pour chaque personne, avec son médecin qui résulte d’un consentement éclairé après une réelle information sur ce qu’est ce candidat « vaccin » ; ensuite une question de contrat social, d’autant plus que les questions de la solidarité et de la responsabilité sont renvoyées avec insistance aux « antivax ». Le pouvoir clive le peuple et désigne à la vindicte populaire des boucs- émissaires. Tout cela se fait avec autant d’arrogance que de fatuité : regardez-les, disent-ils, ...ils sont égoïstes, n’ont pas le sens de la solidarité, du collectif. Quel renversement obscène. Le loup crie au loup.
Machiavel donnait des conseils au Prince : Divisez, pour mieux régner !
Mais pourquoi la gestion de la santé publique est-elle classée ainsi « secret défense » ? si les problèmes liés à ces injections finissent par émerger majoritairement dans l’opinion, les responsables seront connus dans 50 ans ! Pourquoi les contrats passés entre la Commission européenne (l’exécutif européen) et les laboratoires, contrats pour l’achat à prix d’or de quantités phénoménales de doses de candidats- vaccins (au printemps dernier, l’affaire était pliée, le pouvoir ne pouvait revenir en arrière, il ne restait qu’à écouler la marchandise, vacciner et revacciner!) ces contrats ayant été signés avant même une autorisation de mise sur le marché (AMM)? Pourquoi caviarder ces contrats rendus ainsi illisibles ? Personne ne sera responsable devant l’hécatombe qui commence (voyez les données de la pharmacovigilance). Les vaccinocrates n’ont pas l’ombre d’une crédibilité, à moins d’avoir un peuple contraint, sidéré ou sous hypnose! Suivez l’argent, comme le disent les anglo-saxons… on a vu tout récemment la Présidente de la Commission européenne et le DG de Pfizer s’enlacer à New York lors d’une remise de prix au laboratoire. Open bar dans le monde de la distanciation sociale pour fêter les profits de Big Pharma ! L’hyperclasse dominante s’éclate avec le pouvoir politique. Les bras nous en tombent. Qui est « complotiste » ? Certains n’ont même pas à se cacher.
Le secret et la protection juridique sont d’excellentes méthodes pour masquer les responsables. En santé publique, la transparence doit être de mise. Il y a de quoi s’inquiéter, d’autant que les données de la pharmacovigilance, consternantes, n’interrogent pas la presse mainstream et sont bannies des plateaux de télé. Tout est fait pour fabriquer le consentement : déferlement de fake news par les médias serviles appuyant, par exemple l’interdiction de traitements précoces efficaces et peu chers, étouffement d’informations qui casseraient la propagande si elles étaient davantage diffusées, stigmatisation des non-vaccinés, extorsions de consentement – « quasi-viol » des corps… tu te fais piquer ou tu meurs socialement, et on pense interdire l’accès aux supermarchés aux opposants ! Les camps de non-vaccinés, c’est pour bientôt ? En attendant les non-vaccinés ont une vie sociale réduite et ne peuvent même plus, souvent, travailler.
Pourtant il n’y a pas de raison d’accepter cette vaccination. Il n’y a pas de raison pour que des injections promues par un laboratoire, véreux - et de notoriété publique, des injections dont l’ensemble de ce qu’on voit depuis plus d’un an montre que la balance bénéfices/risques n’est pas, pour le moins, concluante, et certainement pas pour les moins de 50 ans sans grosses comorbidités, et absolument pas pour les moins de 20 ans sans grosses comorbidités, il n’y a pas de raison pour que ces injections, à répétition, soient acceptées. D’autant que ces injections n’arrivent à juguler ni la contagion ni même la maladie : les « médias-mensonges » (selon le mot de Michel Collon) eux-mêmes doivent l’admettre. Donc structurer ce pass sanitaire sur la « vaccination » comme en ce moment, ça ne marche pas. Le pass sanitaire se targuait, au départ, d’ une dimension objective : éviter les contaminations. Mais ça ne marche pas. Pour sortir, les « vaccinés » devraient se faire tester tout autant que les « non-vaccinés »…
Le pass sanitaire avait surtout, dès le départ, cette volonté de contrôle de la population, cette volonté qui s’affirme aujourd’hui, de plus en plus. Une volonté qui s’affirme dans les plus grands scandales, dont celui du scandale du pass sanitaire pour les soignants, car un soignant a moins de risque de transmettre le virus s’il fait un test tous les trois jours que s’il est vacciné et pourtant celui qui fait un test tous les trois jours n’a pas le droit de travailler. Et aujourd’hui, la durée de validité des tests est réduite à une journée pour les non-vaccinés.
On peut s’étonner de l’absence de réaction du peuple. Absence de réaction devant les nombreux morts du vaccins, devant les estropiés du vaccins et de tous ces jeunes dont l’espérance de vie est tristement réduite. Pour dire les choses simplement, nos dirigeants sont des assassins. Certains médecins, certaines institutions et lieux de pouvoir sont toxiques et destructeurs : ils devraient être traités comme tels. Le peuple est sidéré, lassé de cette situation, entre ces annonces gouvernementales qui se contredisent et ces mensonges répétés. Le peuple veut simplement vivre alors que les conditions matérielles se durcissent. Il y a bien des manifestations nombreuses, mais elles sont peu relayées et surtout très minorées par les médias serviles, les chiens de garde du pouvoir et pour la population sous hypnose médiatique, il ne se passe plus rien, il n’y a plus rien à voir et l’on veut passer à autre chose. Les opposants au système, tout comme, très souvent, les autres, ne veulent pas être bipés avant d’aller au ciné, au bar prendre un café, dans un train, mais les manifs sont moins grosses qu’à l’été dernier. C’est que l’État contrôle la rue, et de manière de plus en plus violente! Alors, manifester n’est sans doute plus la forme la plus efficace de la guerre que nous devons mener contre l’État, une guerre d’auto-défense car lui la mène déjà contre nous. Pinocchio-roi l’a dit : « nous sommes en guerre », mais sans nommer les véritables belligérants. Le virus a bon dos...
Les flics tirent à balles réelles sur les antipassepasse en Hollande, et pourtant ce pays n’est ni l’Allemagne de 1933, ni la Chine d’aujourd’hui. On aurait pu attendre une condamnation par nos belles âmes « de gauche ». Mais la « gauche », même écologique sauce EELV, fait partie du problème, et s’est enthousiasmée, dans sa grande majorité, pour les vaccins à ARNm, au nom du « progrès », nonobstant les condamnations nombreuses des laboratoires sur le plan international, le scandale de l’interdiction des traitements précoces en France, l’interdiction de prescription des médecins, les conflits d’intérêts et les données de la pharmacovigilance. Peut-être doit-on s’attendre, prochainement, à des saisies sur les pensions des retraités non conformes ? On peut s’attendre à tout.
Ces injections sont un moyen de mettre en place, ou plutôt d’approfondir, la surveillance généralisée dans le cadre du néolibéralisme globalisé. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il y a une volonté de réduire la population, mais si l’on tient compte de la gestion qui n’a de « sanitaire » que le nom, du cynisme et de la prédation des classes dirigeantes - vous savez le fameux « les gens qui ne sont rien »- entre la logistique des GAFAM et les appareils d’État infiltrés par l’oligarchie mondialisée, je ne sais que penser. Tout avait pourtant commencé avant cette accélération.
Car qui a protesté lorsque Google s’est mis à filmer rues, routes et maisons à la fin des années 2000 pour les mettre en libre-accès sur internet ?
Qui a protesté lorsque la même multinationale et d’autres filment depuis des satellites tout l’espace terrestre avec une définition prodigieuse, à l’insu complet des simples citoyens ? Qui a protesté lorsque les téléphones portables furent transformés en mouchards géolocalisant leurs utilisateurs ? Qui a protesté contre le fichage généralisé des utilisateurs d’internet ? Qui a protesté contre les compteurs-espions Linky et autres Gazpar ? Qui a protesté lorsque tous les services de la vie courante ont été transférés sur internet, de la déclaration d’impôts à la Sécurité sociale ? Qui a protesté contre la nouvelle carte d’identité électronique et biométrique entrée en vigueur début août dernier et qui est, délicatesse insigne, selon la communication même du gouvernement « au format carte bancaire » ? Trop peu de personnes.
Ce monde remplace le gouvernement des hommes par l’administration des choses. En Santé publique, à l’Hôpital, dans les instituts médico-éducatifs, le « pôle-soins » se réduit à la gestion de procédures : le rapport humain, le travail clinique est effacé, passe au second plan. On gère du temps, des signes et le toubib engueule le malade non-vacciné. Où est le serment d’Hippocrate ?
Le flicage numérique avait envahi nos vies avant même l’avènement du pass sanitaire. Aujourd’hui, le pouvoir a mis cependant en place un contrôle à l’ancienne, sur pièces. Le QR code de l’être humain, considéré comme une chose, est à montrer physiquement, qu’il soit sur son smartphone ou, sur un bout de papier. Il suffirait au gouvernement de concocter une application permettant de contrôler en direct, via la géolocalisation des smartphones ou des cartes bancaires, si la personne a le droit ou non, de se retrouver dans tel ou tel endroit. Un simple SMS permettrait alors au délinquant de bien vouloir quitter les lieux, sans doute de payer une amende, et un flic sera envoyé en cas d’obstination. Ce système plus simple susciterait moins d’oppositions que ce pass. On s’habitue à tout, même à la laisse… Ainsi en Chine, où un système de surveillance numérique généralisé de la population est accepté, en Chine, ce pays devenu le mois dernier le leader du monde, en se basant sur le PIB, acheter des bières au supermarché entraîne des points négatifs sur votre compte. Trop de points négatifs ? vous n’avez plus le droit de sortir. Bientôt, une puce avec QR code insérée sous la peau ?
Que veut le pouvoir européen ? Que veut le système néolibéral mondialisé ? Redéfinir ce que sont les rapports humains, sans doute, ça commence déjà, et c’est bien là sa prétention tellement énorme, exorbitante, insupportable. Cohérent avec ce projet, le gouvernement a par exemple adopté cet été la loi « bioéthique » qui autorise désormais la PMA avec tiers-donneur sélectionné par définition sur catalogue, la congélation d’ovocytes et même la création de chimères animal-homme. Le pass sanitaire numérique est une des facettes de la volonté du transhumanisme.
Une volonté de démiurge : Changer la définition de l’être humain, le numériser, le marchandiser !
Ainsi, contester le pass sanitaire a une dimension d’éveil. Résister permet de se recentrer sur la construction de sa vie. On s’extrait de ces vastes expérimentations en cours d’ injections de produits immunogènes et de ces expériences de psychologie sociale en temps réel, centrées sur l’obéissance, le conformisme et la soumission, sous la houlette du déferlement de mass-médias diffusant le même message, mondialiste, pour tuer nos voix, tuer la possibilité de penser, de construire, de s’éveiller. Ce message qui veut extraire du système le grain de sable que nous sommes.
Car nous sommes ici pour ranimer l’éveil.
Cet éveil qui s’étend sur tous les domaines du flicage et de la transformation en cours.
Cet éveil qui participe de la « conservation du monde » dont parlait Albert Camus.
Christian Ghiotti co-auteur d’Appel Antigone
Auteur, psychologue clinicien
03 décembre 2021
Notre tâche aujourd’hui
Commentaires sur Notre tâche aujourd’hui
- Si tu trouves un mot plus précis que "le peuple" pour désigner les habitants de la France, je suis preneur.
Sinon, je ne vois pas trop en quoi mon texte est "bien-pensant". A l'heure de l'accélération finale, du déferlement technologique, du vrombissement des médias dominants aux mains de l'oligarchie, ce texte, ici, fait plutôt figure de petite voix discordante.
- je suis un peu étonné par ce que je lis :
il m'a suffi d'un clic pour trouver le rapport sur le site de l'ASNM
les conclusions pages 73-74 ne vont pas du tout dans le sens que tu prétends leur faire dire
Je rajoute que j'habite dans la Drôme, département où le virus circule à une vitesse inégalée parmi les non-vaccinés, qui en paient le prix et saturent des hôpitaux qui auraient bien autre chose à faire que de soigner des gens qui n'ont pas voulu "prévenir".
Être décroissant, c'est préférer la prévention, c'est prendre soin de prévenir plutôt que de guérir : c'est ce que nous répétons quand nous mettons en garde contre les dangers du nucléaire, des OGM, etc. Face à nous il y a toujours des gens pour nous reprocher de crier au loup trop tôt et d'affirmer que "l'on n'a pas assez de recul" : on connaît bien l'antienne, c'est celle de tous les climato-sceptiques ou écolo-sceptiques... et maintenant corona-sceptiques.
Aujourd'hui il est extrêmement facile de faire un peu usage de sa raison pour faire deux hypothèses contrefactuelles : et si toute la population française était vaccinée et si personne ne l'était
aujourd'hui il y a 256 admissions en soins critiques supplémentaires/jour
si tout le monde était vacciné : il y aurait eu 70 cas (au maximum)
si personne ne l'était, il y aurait plus de 3000 admissions supplémentaires par jour (au minimum)
La comparaison contrefactuelle entre tous vaccinés et aucun vaccinés est imparable et prouve l'efficacité du vaccin. Après on peut se lancer dans les méandres philosophiques et se demander s'il est "juste" de prendre le critère de l'efficacité en matière médicale.
En tant que décroissant, nous ne devons pas demander une industrie hospitalière de taille démesurée, je te laisse imaginer la taille qu'il faudrait pour prendre en charge tout cela. L'autre solution, c'est la solution libertarienne du laisser-faire/laisser-mourir. - Michel, tu auras mal lu le PDF que je t’ai envoyé par mail et auquel tu te réfères ici: un rapport de l’ANSM de fin août de 2021 qui rapporte les effets indésirables du vaxxin Pfizer. Un rapport qu’on ne peut plus retrouver aujourd’hui sur le net, mais heureusement téléchargé cet été !
L’ANSM a effacé ce rapport qui donne de l’eau au moulin des prudents qui critiquent la politique «sanitaire » : de la censure, c’est discret, qui consulte les rapports de l'ANSM ... les chieurs !... mais la censure, sur des morts, c'est inquiétant, non ?
Tu omets des évènements graves : les 905 morts directement reliés à ce vaxxin. Et bien plus d’estropiés : des gens qui traîneront des pathologies à vie, une vie plus courte, souvent.
Regarde bien les pages 6 et 7. Regarde aussi à partir de la page 58 car tu n'auras lu que la page 74. Evidemment, en allant directement à la conclusion et une synthèse qui édulcore le contenu, tu fais comme beaucoup de politiques : tu masques les problèmes. L’ANSM avait un rapport sérieux, dérangeant (et le nombre de ces évènements indésirables est minimal): les remontées sont actives, les médecins et soignants doivent faire état de ces accidents, les malades des vaxxins, doivent vouloir faire une déclaration) : des épidémiologistes, des statisticiens, travaillent sérieusement, mais l’institution, influencée par le pouvoir, fait ce qu’il faut pour lui. Alors des individus, irresponsables (coupables ?) car pris dans ces institutions, font ce qu’il faut pour cacher ces données, à cause de directives de la lourde structure, pour continuer à être payé, vivre… participant ainsi à la « banalité du mal » dont parle Hanna Arendt dans son « Eichmann à Jérusalem » (1963).
Ton raisonnement sur le contrefactuel est intéressant mais faux : tu reprends la doxa gouvernementale, les chiffres gouvernementaux en période de propagande. Aves ces chiffres bruts, tu tombes dans le sophisme.
Tu passes sous silence le torpillage de l’Hôpital, continué par Macron ces deux dernières années et les nombreux lits supprimés – non pas pour la prévention, mais en dernière analyse pour le privé et des fonds de pension. Tu n’es pas choqué par l’interdiction faite aux médecins de prescrire, surtout quand cela concerne des médicaments qui n’ont jamais tué personne. Les traitements précoces écrasent les prises en charge aux urgences pour le covid. Considérablement moins d'échappement thérapeutique que le "doliprane-dodo" : les cohues aux urgences sont construites. Donner la Santé à Véran/Macron/Castex, c'est confier son gamin à Dutroux.
Sache tout de même que le Conseil de l'Ordre des Médecins n'a aucune légitimité pour trancher les controverses scientifiques ou médicales : son rôle est de sanctionner des mauvais comportements de médecins entre eux, ou des mauvais comportements de médecins avec des patients. L'Ordre des médecins fait souvent de l'abus de pouvoir sur les médecins. Par contre, il laisse les violeurs et pédophiles bien tranquilles, il devrait être dissous. Il y eut d'ailleurs un rapport de la Cour des Comptes sur eux en 2019. Le gouvernement fait dire ce qu'il veut à cet Ordre. Aujourd'hui, le Conseil de l'Ordre ne fait que de la promotion à mort des vaxxxins anticovid et il interdit tant qu'il le peut les traitements précoces, il travaille pour les pharmas, indirectement ou directement je n'en sais rien, faut voir les conflits d'intérêts aux cas par cas pour chacun des membres. Mais il n'y a absolument pas de "consensus médical" en faveur de ces vaxxins qui ne sont pas d'ailleurs les seuls médicaments très controversés!
Tu passes sous silence l’âge moyen des morts du Covid. Or on doit toujours mettre des chiffres en perspectives.
Combien de morts du Covid de moins de 50 ans depuis le début de l’épidémie ? Intéressant de le savoir. Regarde sur le site Santé-France. Avec les effets secondaires des vaxxins, on tue des jeunes pour prolonger un peu (peut-être) des vieux. Et ce n'est pas qu'un problème franco-français. Voir le CDC, l'Agencce Européenne du Médicament, par exemple.
Je t’invite à méditer sur ces mots d’Albert Camus (dans ActuellesII, 1948-1953) :
« La liberté consiste d’abord à ne pas mentir. Là où le mensonge prolifère, la tyrannie s’annonce ou se perpétue. » En effet, les non-vaxxinés, et ceux qui refuseront la troisième dose, s’aperçoivent aujourd'hui que la tyrannie est bien là.
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Christian
quelques pages publiées, puis censurées dans le rapport du 26/08/2021
Cas graves, N (%) 12 973 (27.7)
Critère de gravité
Anomalies congénitales 9 (0.0)
Décès 905 (1.9)
Mise en jeu du pronostic vital* 649 (1.4)
Hospitalisation* 4058 (8.7)
Invalidité ou incapacité 300 (0.6)
Médicalement significatif 7052 (15.1)
Sexe, N (%)
Masculin 4957 (10.6)
Féminin 7985 (17.1)
Inconnu 31 (0.1)
Tranches d’âge, N (%)
12-15 73 (0.2)
16-18 135 (0.3)
19-24 520 (1.1)
25-29 371 (0.
30-49 3103 (6.6)
50-64 3116 (6.7)
65-74 2015 (4.3)
75-84 1960 (4.2)
≥ 85 1581 (3.4)
Inconnu 99 (0.2)
Évolution, N (%)
En cours de rétablissement/résolution 3959 (8.5)
Rétabli/résolu 3500 (7.5)
Rétabli/résolu avec séquelles 314 (0.7)
Non rétabli/non résolu 3918 (8.4)
Décès 906 (1.9)
Inconnu 376 (0.
* Dans le rapport 17 les données concernant les « hospitalisations » et les « mises en jeu du
pronostique vitale étaient inversées ».
Description générale des cas graves et non graves
Au total, sur les 46 817 cas rapportés, 33 844 (72,3 %) correspondaient à des cas non graves
et 12 973 (27,7 %) à des cas graves au regard des définitions réglementaires internationales
de pharmacovigilance. Depuis le précédent rapport, 15 430 nouveaux cas ont été transmis,
dont 4 283 graves (27,8 %).
Parmi les 46 817 cas analysés, 23 832 correspondent à des effets indésirables de
réactogénicité (définition : propriété d'un vaccin de produire des réactions indésirables sous
forme d'une réponse immunologique excessive se manifestant par de la fièvre, de la douleur
à l'endroit d'injection accompagnée d'un gonflement, une induration et une rougeur attendus,
car déjà identifiés et caractérisés dans les essais cliniques). Parmi ces 23 832 effets
indésirables de réactogénicité, 3 636 sont graves.
Les effets indésirables graves se répartissent en tableaux cliniques dont la répartition est
représentée par le graphique ci-dessous.
Figure 1. Proportion représentée par les effets graves parmi l’ensemble des effets rapportés
en France au 26/08/2021, par System Organ Class (avec au moins 5 cas).
La Figure 1 détaille, par System Organ Class, la proportion des effets graves parmi l’ensemble
des effets rapportés.
Cas graves, N (%) 12 973 (27.7)
Critère de gravité
Anomalies congénitales 9 (0.0)
Décès 905 (1.9)
Mise en jeu du pronostic vital* 649 (1.4)
Hospitalisation* 4058 (8.7)
Invalidité ou incapacité 300 (0.6)
Médicalement significatif 7052 (15.1)
Sexe, N (%)
Masculin 4957 (10.6)
Féminin 7985 (17.1)
Inconnu 31 (0.1)
Tranches d’âge, N (%)
12-15 73 (0.2)
16-18 135 (0.3)
19-24 520 (1.1)
25-29 371 (0.

30-49 3103 (6.6)
50-64 3116 (6.7)
65-74 2015 (4.3)
75-84 1960 (4.2)
≥ 85 1581 (3.4)
Inconnu 99 (0.2)
Évolution, N (%)
En cours de rétablissement/résolution 3959 (8.5)
Rétabli/résolu 3500 (7.5)
Rétabli/résolu avec séquelles 314 (0.7)
Non rétabli/non résolu 3918 (8.4)
Décès 906 (1.9)
Inconnu 376 (0.

* Dans le rapport 17 les données concernant les « hospitalisations » et les « mises en jeu du
pronostique vitale étaient inversées ».
Description générale des cas graves et non graves
Au total, sur les 46 817 cas rapportés, 33 844 (72,3 %) correspondaient à des cas non graves
et 12 973 (27,7 %) à des cas graves au regard des définitions réglementaires internationales
de pharmacovigilance. Depuis le précédent rapport, 15 430 nouveaux cas ont été transmis,
dont 4 283 graves (27,8 %).
Parmi les 46 817 cas analysés, 23 832 correspondent à des effets indésirables de
réactogénicité (définition : propriété d'un vaccin de produire des réactions indésirables sous
forme d'une réponse immunologique excessive se manifestant par de la fièvre, de la douleur
à l'endroit d'injection accompagnée d'un gonflement, une induration et une rougeur attendus,
car déjà identifiés et caractérisés dans les essais cliniques). Parmi ces 23 832 effets
indésirables de réactogénicité, 3 636 sont graves.
Les effets indésirables graves se répartissent en tableaux cliniques dont la répartition est
représentée par le graphique ci-dessous.
Figure 1. Proportion représentée par les effets graves parmi l’ensemble des effets rapportés
en France au 26/08/2021, par System Organ Class (avec au moins 5 cas).
La Figure 1 détaille, par System Organ Class, la proportion des effets graves parmi l’ensemble
des effets rapportés.

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Quand je lis "On peut s’étonner de l’absence de réaction du peuple. Absence de réaction devant les nombreux morts du vaccins, devant les estropiés du vaccins et de tous ces jeunes dont l’espérance de vie est tristement réduite. Pour dire les choses simplement, nos dirigeants sont des assassins. Certains médecins, certaines institutions et lieux de pouvoir sont toxiques et destructeurs : ils devraient être traités comme tels. Le peuple est sidéré, lassé de cette situation, entre ces annonces gouvernementales qui se contredisent et ces mensonges répétés. Le peuple veut simplement vivre alors que les conditions matérielles se durcissent" je me dis, encore un qui parle du peuple sans le définir. C'est bien pratique d'utiliser ce signifiant vide qu'est devenu le mot "peuple". Pour chacun il signifie quelque chose mais pour tous il n'y a rien en commun , mais dans tous les cas cela permet. à peu de frais , de se situer du bon côté, celui...du peuple.
Ah misère de misère! Quand la rhétorique vient au secours de la contestation bien pensante on n'est pas près de se mettre à la tâche...aujourd'hui ou demain!
Pierre Leyraud